Le Directeur de Cabinet Adjoint, Parfait Kouadio a, au nom du Ministre de l’Environnement et du Développement Durable, présidé la cérémonie d’ouverture de cet important atelier en présence du Professeur KouaKou Jean Kouadio Coordonnateur du projet GDT au MINEDD et de Bié Lemonpké Hubert, Secrétaire permanent du comité national CILSS (comité inter-Etat de lutte contre la sécheresse au sahel). Il faut noter la participation d’une quarantaine d’experts issus de ministères techniques, de centre de recherches, des collectivités territoriales et des organisations de la société civile.
Plusieurs missions initiées par le Coordonnateur du projet GDT, sur le territoire national, ont permis de recueillir des informations de facteurs sources de mauvaises pratiques agricoles et culturales sur la durabilité des terres et la protection des ressources naturelles qui sont déjà en déclin. Parmi ceux-ci, l’on peut citer l’accroissement des superficies cultivées dans les zones à forte productivité agricole pour répondre aux besoins croissants d’une population en pleine expansion, la déforestation, les feux de végétation, le surpâturage, l’urbanisation et la pression démographique, l’exploitation minière, l’absence de politiques locales de développement.
C’est pour trouver des solutions à situation dégradation de nos terres que : « il était impérieux de mettre à la disposition de tous les acteurs et parties prenantes un guide, en réponse aux préoccupations des uns et des autres » a dit le représentant du Ministre Joseph Séka SEKA. Par ailleurs, il a exhorté les participants à s’impliquer dans la recherche de solutions durables à travers leurs contributions et réflexions. « Le Ministre l’Environnement et du Développement Durable attend de vous une parfaite participation. Je vous invite donc à donner le meilleur de vous-même au cours de ces quatre (04) jours » a-t-il souligné.
Le Professeur Kouakou Jean Kouadio, Coordonnateur du projet, a insisté sur les conséquences environnementales et socioéconomiques liées à la mauvaise utilisation des terres en Côte d’Ivoire. « Le manque de fertilité des terres en Côte d’Ivoire a un impact sur la baisse du rendement agricole, les revenus des paysans ont engendré une migration importante de ceux-ci vers des zones plus fertiles. Le guide de bonnes pratiques que nous élaborons permettra de rendre plus fertiles les terres par l’apport d’intrants bio par exemple, ce qui renforcera ainsi la productivité et les revenus des paysans », a-t-il déclaré. Selon le Coordonnateur, cet élan, Une fois acquis, permettra de sédentariser les populations des zones pilotes du projet, et donc de lutter contre les conflits fonciers et la pression sur les sols. Il a renchéri en précisant que « La vulgarisation du guide est un véritable atout pour créer des conditions d’autosuffisance alimentaire, de protection de la biodiversité, de lutte contre le changement climatique dans notre pays mais aussi et surtout l’amélioration du Bien-être des populations ».
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