Ministère de l'Environnement, du Développement Durable et de la Transition Ecologique (MINEDDTE)

Ministère de l'Environnement, du Développement Durable et de la Transition Ecologique (MINEDDTE)

La Côté d’Ivoire ne veut pas rester en marge de l’électro mobilité ou encore la mobilité électrique qui désigne les façons de se déplacer en utilisant un moyen de transport électrique.

Les enjeux climatiques du développement de ce mode de transport, moins pollueur en CO2, se posent aujourd'hui avec acuité et ont incité plusieurs acteurs nationaux, dont des représentants de ministères techniques et organismes parapubliques à mener des réflexions aiguës sur la création et l’encrage institutionnel d’un organe qui devrait coordonner les actions futures à poser. De même, le cadre organique, le projet de budget et le plan de travail de cet organe de coordination ont été discutés.

A l’initiative du projet de mobilité électrique, piloté par le ministère de l’Environnement et du Développement Durable (MINEDD), un atelier s’est tenu à cet effet, le vendredi 12 juillet 2022, dans un réceptif hôtelier sis Abidjan-Cocody.

L’ouverture de cette activité a été présidée par le Conseiller Technique Lavry Nazaire, représentant le Ministre Jean-Luc ASSI. Il a affirmé, dans son allocution que la thématique des véhicules électriques était au centre des préoccupations de divers acteurs ivoiriens. « J’en veux pour preuve la tenue du récent forum de l’automobile tenu à l’hôtel ivoire qui a réservé une place de choix à l’Electromobilité. De plus, plusieurs initiatives sont actuellement mises en œuvre par des Communes et des Starts Up, qui pour mettre en place des Taxis électriques, qui pour créer des plateformes intelligentes pour l’Electromobilité », s’est-il exprimé tout en lançant cet appel en direction des participants à l’atelier « Le temps presse car, dans un horizon très proche, il ne sera plus produit de véhicules à combustion thermique dans le monde entier ».

En effet, le 08 juin 2022, le parlement européen a voté en faveur de l’interdiction de la vente de véhicules à moteur thermique utilisant l’essence ou le diesel, à partir de 2035. L’objectif est de réduire de 55% les émissions de CO2 des voitures particulières et des camionnettes en 2030 et de 100% en 2035. Tout comme le parlement européen, les constructeurs et les autres puissances économiques sont à l’œuvre pour entrer dans la transition écologie du transport qu’est l’électro mobilité.

La Côté d’Ivoire ne veut pas rester en marge de l’électro mobilité ou encore la mobilité électrique qui désigne les façons de se déplacer en utilisant un moyen de transport électrique.

Les enjeux climatiques du développement de ce mode de transport, moins pollueur en CO2, se posent aujourd'hui avec acuité et ont incité plusieurs acteurs nationaux, dont des représentants de ministères techniques et organismes parapubliques à mener des réflexions aiguës sur la création et l’encrage institutionnel d’un organe qui devrait coordonner les actions futures à poser. De même, le cadre organique, le projet de budget et le plan de travail de cet organe de coordination ont été discutés.

A l’initiative du projet de mobilité électrique, piloté par le ministère de l’Environnement et du Développement Durable (MINEDD), un atelier s’est tenu à cet effet, le vendredi 12 juillet 2022, dans un réceptif hôtelier sis Abidjan-Cocody.

L’ouverture de cette activité a été présidée par le Conseiller Technique Lavry Nazaire, représentant le Ministre Jean-Luc ASSI. Il a affirmé, dans son allocution que la thématique des véhicules électriques était au centre des préoccupations de divers acteurs ivoiriens. « J’en veux pour preuve la tenue du récent forum de l’automobile tenu à l’hôtel ivoire qui a réservé une place de choix à l’Electromobilité. De plus, plusieurs initiatives sont actuellement mises en œuvre par des Communes et des Starts Up, qui pour mettre en place des Taxis électriques, qui pour créer des plateformes intelligentes pour l’Electromobilité », s’est-il exprimé tout en lançant cet appel en direction des participants à l’atelier « Le temps presse car, dans un horizon très proche, il ne sera plus produit de véhicules à combustion thermique dans le monde entier ».

En effet, le 08 juin 2022, le parlement européen a voté en faveur de l’interdiction de la vente de véhicules à moteur thermique utilisant l’essence ou le diesel, à partir de 2035. L’objectif est de réduire de 55% les émissions de CO2 des voitures particulières et des camionnettes en 2030 et de 100% en 2035. Tout comme le parlement européen, les constructeurs et les autres puissances économiques sont à l’œuvre pour entrer dans la transition écologie du transport qu’est l’électro mobilité.

Le village de la Journée Internationale de la Femme (JIF) 2022 a été installé en prélude à la célébration officielle de la JIF en Côte d’Ivoire, du 06 au 08 mars 2022 à l’espace AGORA dans la Commune de Koumassi à Abidjan. L’objectif de ce village était de permettre aux structures partenaires du Ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant de présenter les acquis sur la question des droits de la femme en lien avec leur secteur d’activité.

En la matière, dans le contexte de mise en œuvre des Contributions Déterminées au niveau National (CDN) qui ont intégrées de façon transversale les questions de genre, le Ministère de l’Environnement et du Développement Durable (MINEDD), à travers le Programme National Changements Climatiques (PNCC), en collaboration avec le PNUD bénéficie d’un financement du Fonds Vert pour le Climat (GCF), pour la mise en œuvre du projet de « Renforcement de l’intégration de l’adaptation au changement climatique dans la planification du développement en Côte d’Ivoire (NAP-GCF) ».

C’est dans cet élan que le projet NAP-GCF apporte un appui technique et une expertise politique au Ministère de l’Environnement et du Développement Durable et au Ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant pour accélérer un processus de Plan National d’Adaptation (PNA) qui répond aux questions de genre en Côte d’Ivoire.

C’est ainsi qu’à l’occasion de la célébration nationale de la Journée Internationale des droits de la Femme (JIF) 2022 sous le thème « Egalité de chances pour un avenir durable en Côte d’Ivoire », le projet NAP-GCF et la Cellule Genre et Inclusion Sociale du PNCC ont été invités aux festivités commémoratives. Cette participation visait à partager leur expérience et les perspectives de consolidation des acquis pour d’éventuels partenariats. Elle s’est faite à travers : (i) l’émission « Entre nous les femmes » de RTI 2 afin de montrer les réponses du Ministère de l’Environnement face à l’adaptation des femmes en milieu rurale ; (ii) l’animation d’un cadre de discussion et de partage d’informations avec les acteurs et actrices engagées dans la promotion de l’égalité du genre et l’autonomisation de la femme intervenant dans les synergies du développement durable et (iii) l’animation d’un stand par une exposition.  

Ce stand a été visité par cinquante-trois (53) participants (47 femmes et 06 hommes) dont Madame Dominique OUATTARA, Première Dame de la République de Côte d’Ivoire accompagnée de plusieurs personnalités y compris Madame Carol Flore ZMERECZNIAK, Représentante Résidente du PNUD Côte d’Ivoire.

Le Ministère de l’Environnement et du Développement Durable (MINEDD) à travers le Programme National Changements Climatiques (PNCC) et en collaboration avec le PNUD, a organisé un atelier de validation de la Stratégie Nationale d’Apprentissage sur le Changement Climatique (SNACC 2022-2026). Cette activité d’une journée s’est tenu à Seen Hotel, au Plateau, le vendredi 03 décembre 2021. Une cérémonie d’ouverture marquée par deux allocutions, a précédé le début travaux. Ainsi, monsieur AGBRI Lako, Expert Climat sur le Projet NAP-GCF, a au nom de Madame la Représentante Résidente du PNUD, remercié le Ministère de l’Environnement et du Développement Durable pour la confiance renouvelée au Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), au bailleur du Projet, notamment, le Fonds Vert pour le Climat (GCF) dans le cadre de l’organisation de cet atelier. Il a insisté sur le fait que la stratégie nationale d’apprentissage sur les changements climatiques (SNACC) concrétise la volonté du Gouvernement ivoirien de s’orienter vers plus de cohérence dans son engagement à lutter contre les changements climatiques. « C’est une opportunité pour le pays d’intégrer la question de l’éducation et la formation sur le changement climatique via l’apprentissage, voire le renforcement de capacités dans le système éducatif », s’est-il exprimé.

En effet, la SNACC s’inscrit dans une dynamique globale qui vise à accompagner la mise en œuvre des Contributions Déterminées au niveau National (CDN), du processus PNA (Plan National d’Adaptation) et des autres plans de lutte contre le changement climatique en Côte d’Ivoire.

Le Coordonnateur du Programme National Changements Climatiques (PNCC), Mohamed SANOGO, a prononcé l’allocution d’ouverture. Représentant le Ministre de l’Environnement et du Développement Durable, monsieur Jean-Luc ASSI, il a rappelé que dans le cadre de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC) et de l'Accord de Paris sur le climat, les pays, parties prenantes ont défini la nécessité d'agir pour l'autonomisation climatique à travers l’éducation, la formation, la sensibilisation, la participation du public, l’accès du public à l'information et la coopération internationale et régionale. « L'éducation et l'autonomisation des populations en matière de changement climatique sont essentielles pour atteindre les objectifs de l'Accord de Paris. En effet, l’ACE vise à ne laisser personne derrière et inspire et encourage chacun à amplifier les efforts pour une transition juste vers un avenir respectueux du climat et durable pour les générations présentes et futures », a rassuré Mohamed SANOGO. La Stratégie Nationale l’Apprentissage sur les Changements Climatiques (SNACC) vise à renforcer les connaissances et les compétences en matière de changement climatique dans l’ensemble de la société ivoirienne. Trois axes stratégiques sont dans sa ligne de mire. Ce sont notamment, le renforcement des capacités individuelles et institutionnelles des secteurs clés et/ou connexes, l’intégration des questions de changement climatique dans les systèmes nationaux d’éducation et de formation, le renforcement des capacités sur les mécanismes de financement durable pour l'apprentissage en matière de changement climatique. D’où le sens de cette perspective émis par le Coordonnateur du PNCC « cette Stratégie est appelée à devenir un véritable gouvernail devant nous amener à construire les bases solides sur lesquelles les populations peuvent s’appuyer pour promouvoir les façons de faire respectueuses du climat », a-t-il lancé. Au cours des travaux, la quarantaine de participants conviés était issue de ministères techniques et sectoriels, de centre de recherches, d’universités publiques, de structures spécialisées, des collectivités territoriales, du secteur privé et de la société civile. Elle a formulé des recommandations fortes en vue de finaliser cet important document de stratégie.