Ministère de l'Environnement, du Développement Durable et de la Transition Ecologique (MINEDDTE)

Ministère de l'Environnement, du Développement Durable et de la Transition Ecologique (MINEDDTE)

L’équipe du projet « Gestion rationnelle des polluants organiques persistants (POP) non intentionnels et des diphényles éthers polybromés (PBDE) pour réduire leurs émissions du secteur des déchets industriels » a posé ses valises à Yopougon, le lundi 30 mai 2022, dans le cadre d’un atelier de sensibilisation de plusieurs femmes ouvrières d’une entreprise qui fait le recyclage de plastique.

Conduite par le professeur Gustave BEDI, Coordonnateur du projet, cet atelier a permis d’expliquer aux femmes de ladite entreprise, les dispositions à prendre pour limiter leur contact avec les polluants organiques persistants (POP) lorsqu’elles sont au travail ou dans les tâches domestiques. « On est venu vous parlez de POP. On le retrouve dans les plastiques de téléphones, des climatiseurs, des radios, des vieux ordinateurs et télévisions. Il a été mis dans ces appareils pour ne pas qu’ils explosent en cas de feu », a-t-il affirmé.

En poursuivant, le Professeur a expliqué aux femmes qu’elles sont les plus exposées à ces polluants du fait de leur caractéristique biologique et anatomique. En effet, l’absorption de ces polluants pourra avoir des répercussions sur l’enfant pendant l’allaitement, avec des risques de malformations.

« Pour ne pas être contaminées par le POP, il faut observer un certain nombre de mesures. Nous sommes venus vous dire aussi que vous pouvez travailler sur les équipements et déchets qui contiennent du POP sans tomber malade et gagner votre vie correctement », a souligné le Coordonnateur du projet.

Au niveau du bilan des actions de sensibilisation des femmes, Gustave BEDI a rappelé que 200 femmes avaient été formées et sensibilisées. Comme perspective, il a annoncé la construction de deux centres dédiés au démantèlement des DEEE et des VFV, en lien avec le projet UPOP-CI. A cet effet, il les a invités à prendre une part active à la mise en œuvre desdits centres de démantèlement, car le secteur est très pourvoyeurs d’emploi et générateur de revenu.

En Côte d’Ivoire, la quantité de produits chimiques présente dans l’environnement a fortement augmenté du fait de la consommation galopante d’appareils électriques électroniques, des pesticides, des produits ménagers, du plastique et des véhicules en fin de vie. Si cette consommation a pu participer à l’amélioration des conditions de vie des populations, il faut reconnaître qu’elle génère des Polluants Organiques Persistants (POP) qui sont particulièrement dangereux et peuvent avoir des impacts extrêmement nocifs sur la santé et l’environnement.

Les femmes ont la charge de la majeure partie des travaux domestiques à l’intérieur et autour de la maison, y compris le tri, l’enlèvement et l’élimination des déchets ménagers, qui comprennent souvent le brûlage à l’air libre des plastiques et autres déchets. Cette pratique expose les femmes à des polluants organiques persistants hautement toxiques et à des métaux lourds, avec des répercussions importantes sur leur santé et sur leur capacité à porter des enfants. En effet, si l'exposition aux produits chimiques présente un risque pour tous les êtres humains, les hommes et les femmes ne sont pas égaux, du fait de facteurs biologiques mais aussi socio-économiques, entre autres.

Le projet UPOPCI a été approuvé par le FEM le 4 octobre 2019. Il a pour objectif d’apporter des solutions spécifiques à l’émission des PBDE et des dioxines et furanes, composés chimiques toxiques issus des matériaux plastiques contenu dans des véhicules en fin de vie et du brûlage à ciel ouvert des déchets électroniques.

 

IVOIRIENNES, IVOIRIENS,

CHER (E) S COMPATRIOTES,

CHER(E)S AMI(E)S DE LA CÔTE D’IVOIRE,

MESDAMES ET MESSIEURS,

Face à l’érosion toujours persistante de la biodiversité, la Convention sur la Diversité Biologique, entrée en vigueur en 1993, a été ratifiée par 196 Etats, dont la Côte d’Ivoire, depuis le 27 Février 1995. Cet instrument légal international vise à préserver la diversité biologique, l’utilisation durable des ressources naturelles, la protection des ressources génétiques et la nécessité d'un partage juste et équitable des avantages découlant de l’utilisation de la biodiversité avec les communautés.

Chaque année, la Côte d’Ivoire, à l’instar de tous les autres pays du monde, célèbre le 22 mai, la Journée Internationale de la Diversité Biologique. L’organisation de cette journée est une opportunité pour le Gouvernement, d’informer nos concitoyens sur les enjeux majeurs liés à la vie, donc à la Biodiversité sur terre et dans les eaux.

Cette année 2022, le thème retenu est « Bâtir un avenir partagé pour toutes les formes de vie ». Ce thème a été choisi pour tirer parti de la dynamique générée en 2020 et 2021 en appui au cadre mondial pour la biodiversité post-2020, cadre ambitieux qui prend en compte les objectifs des Accords multilatéraux sur l’Environnement et ceux relatifs à la biodiversité. Ce thème est orienté vers l'action et s'inscrit dans le contexte de la Décennie des Nations-Unies pour la restauration des écosystèmes. Celle-ci souligne que la biodiversité est la réponse à plusieurs défis de développement durable ; qu'il s'agisse de solutions fondées sur la nature ou d'approches écosystémiques du climat, des questions de santé, de la sécurité alimentaire, de l'eau ou d’autres moyens de subsistance durables.

Mesdames et Messieurs,

Nos modes de vie et de production au cours de ce siècle se sont avérés menaçants pour notre cadre de vie, notre environnement, notre planète. En effet, les activités anthropiques continuent de détruire les écosystèmes et les espèces vivantes. Alors que, tous reconnaissent aujourd’hui l’importance de la diversité biologique pour les générations présentes et futures.

En Côte d’Ivoire, l’état des lieux des forêts reflète une nette tendance à la déforestation et à la dégradation des ressources biologiques. Le rythme de la déforestation est de l’ordre de 150.000 ha à 200.000 hectares par an (Eaux et forêts N°7, Décembre 2021). Ainsi, plusieurs services et fonctions écosystémiques fournis par les forêts, comme l’approvisionnement durable en eau, ont presque disparu suite aux activités humaines telles que l’exploitation minière, la coupe de bois d’œuvre, l’agriculture.

C’est à juste titre que la Côte d’Ivoire a abrité du 09 au 20 mai, la 15e session de la Conférence des Parties de la Convention-Cadre des Nations Unies sur la Lutte contre la Désertification (COP15).

Avec près de 60% de son territoire et 90% de sa partie septentrionale affectés par la dégradation des sols arables, la restauration des terres comme de la forêt et la mise en place d’une agriculture écologiquement intensive, intelligente face au climat, dotée de systèmes de production résilients et Zéro déforestation, constituent une solution stratégique pour préserver notre environnement et garantir la biodiversité.

La perte de terres fertiles menace aussi notre santé, notre sécurité et notre prospérité. Elle entraîne les crises interconnectées de la désertification, de la sécheresse, de la perte de la biodiversité et du changement climatique, et plus loin des migrations, de l’agitation sociale et de la déstabilisation géopolitique.

Concernant le volet faunique, les résultats de l’Inventaire Forestier Faunique National de la Côte d’Ivoire de juin 2021 ont recensé 120 espèces ciblées dont 3 espèces seulement totalisent plus de 40% des observations. Ces espèces sont le lièvre, le guib harnaché et l’aulacode. Confrontés au braconnage et à la destruction progressive, les grands mammifères ont quasiment disparu, du fait des conflits de l’homme avec la faune, de plus en plus fréquents. En outre, 34 espèces ont rejoint la liste rouge. Cinq espèces sont en danger critique d’extinction, tandis que 9 autres espèces sont menacées d’extinction. Les espèces aquatiques ne sont pas épargnées. En effet, le stock des ressources halieutiques est en danger, avec des pertes estimées à 100 000 tonnes en 2018, du fait entre autre, de la pêche illicite.

Par ailleurs, les mangroves sur le littoral sont détruites par les activités d’exploitation, constituant une pression importante sur l’environnement. Celles-ci offrent pourtant de nombreux services écosystémiques en raison de leur productivité élevée et de l’architecture dense qu’elles développent sur la frange littorale : refuge de diversité, usages multiples, ressources renouvelables, protection des rivages et séquestration de carbone pour lutter contre les Changements Climatiques.

La menace sur la diversité biologique marine est une réalité dans notre pays. La pollution marine et côtière, causée entre autres, par les charriements des déchets biologiques, les macro-plastics, la surexploitation et les extractions diverses, contribue à la disparition de certaines espèces dont les requins, les raies, les tortues marines, les poissons et les crustacés.

Mesdames et Messieurs,

Les paysages, les écosystèmes, les espèces et les personnes sont interdépendants à différents niveaux. La pandémie à la COVID-19 le démontre si bien. Elle n'a pas seulement perturbé les systèmes de santé et l'économie mondiale, mais a également amené plusieurs personnes à s'interroger sur la durabilité de nos modes de consommation, de production et l'impact de toutes nos activités sur la biodiversité.

Alors que nous nous remettons de la pandémie à la COVID-19, nous avons la responsabilité partagée de nous assurer que nous avons tiré les leçons de cette expérience.

L'un des principaux enseignements est que la santé de l’Homme est intimement liée à celle de la planète. Et si nous voulons construire un avenir plus juste, plus vert et plus sain, nous devons prendre soin de notre planète comme nous le faisons pour notre santé personnelle. Les changements climatiques, la perte de biodiversité, la pollution sont là, trois grands défis environnementaux qui ont un impact sur notre santé et celle de nos écosystèmes. Ils doivent tous être abordés de manière intégrée et complémentaire.

 

Mesdames et Messieurs,

Cher(e)s ami(e)s de la Côte d’Ivoire,

Le cadre mondial pour la biodiversité post-2020, actuellement en cours de négociation sous les auspices de la Convention sur la diversité biologique, représente une occasion historique de donner l'exemple d'un accord mondial pour une action efficace en faveur de la biodiversité et, par la suite, de faire progresser la santé et le bien-être de tous.

Mais, cet objectif ne peut être atteint que par des efforts coordonnés, un leadership fort et en s'attaquant de front à la triple crise environnementale (la perte de la Biodiversité, les changements climatiques et la pollution). Il n'y a pas de temps à perdre, c'est maintenant qu'il faut agir.

Je vous remercie !

Le secrétaire exécutif de la Convention des Nations unies pour la lutte contre la désertification, Ibrahima Thiaw, a indiqué que la Cop 15 d'Abidjan a été exceptionnelle, avec plus de 7 000 participants, la présence de 196 pays et de l'Union européenne, la diffusion de 4 000 articles en 40 langues dans 120 pays du monde.

Il s'exprimait le vendredi 20 mai 2022, à l'occasion de la conférence de presse de clôture de la 15e Conférence des parties à la Convention des Nations unies sur la lutte contre la désertification (Cop 15) qui s'est tenue à Abidjan du 09 au 20 mai 2022.

''La Cop 15 a été un sommet exceptionnel à plusieurs points de vue. C'est un niveau de participation que je trouve excellent. Il y a eu plus de 7000 participants. C'est-à-dire plus que le nombre de participants que nous avons eus à la dernière Cop en Inde et beaucoup plus qu'aux Cop précédentes'', s'est félicité Ibrahima Thiaw.

Et d'ajouter : ''4000 articles ont été publiés dans 120 pays et 40 langues. Cela est sans précédent dans l'histoire de la Convention''.

Le Sommet des Chefs d'État présidé par le Président Alassane Ouattara, l'Appel d'Abidjan dénommé Abidjan Legacy Program proposé par le Président Alassane Ouattara pour restaurer les terres et protéger les forêts, le Caucus genre présidé par la Première Dame de Côte d'Ivoire, Dominique Ouattara, le Forum des jeunes et toutes les thématiques discutées en lien avec la restauration des terres et la lutte contre la désertification témoignent de cet engagement, selon le secrétaire exécutif.

Pour Ibrahima Thiaw, la question de la restauration des terres est cruciale pour l'humanité car 40 % de la planète est déjà dégradée et 1/4 des émissions à effet de serre provient de la dégradation des terres.

La Cop 15 est une Cop d'appel à l'action pour la restauration des terres et la lutte contre la sécheresse, a-t-il signifié. Avant de souhaiter que cet engagement constaté se poursuive.

Pour sa part, le ministre ivoirien de l'Environnement et du Développement durable, Jean-Luc Assi, a dit que l'organisation réussie de la Cop a permis à la Côte d'Ivoire ''de se repositionner dans la diplomatie environnementale''.

Sur les autres réussites de la COP, le ministre Jean-Luc Assi a salué le fait que le tourisme du pays ait été renforcé, des emplois aient été créés pour les jeunes dans les activités en lien avec la terre, et les activités agricoles aient été renforcées. A cela s'ajoutent les retombées économiques pour plusieurs secteurs d'activités (restauration, hôtellerie, transport, etc.)

Avec l’Initiative d’Abidjan qui débute, après l’organisation de la COP15 à Abidjan, le Premier Ministre ivoirien, Patrick Achi, a exprimé la volonté de la Côte d’Ivoire de jouer pleinement son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et la lutte contre la désertification des terres, aussi dans la restauration des équilibres environnementaux primordiaux pour l’avenir de la planète.

Le Chef du gouvernement a fait cette déclaration le vendredi 20 mai 2022, à l’occasion de la clôture de la 15ème Conférence des Parties (COP15) à la Convention des Nations-Unies sur la Lutte contre la Désertification et la Sécheresse.

« Avec la COP15 qui s’achève, avec l’Initiative d’Abidjan qui débute, la Côte d’Ivoire veut en effet jouer pleinement son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique, dans la lutte contre la désertification des terres, dans la restauration des équilibres environnementaux primordiaux pour l’avenir de la planète, dans la promotion de modèles agricoles plus efficaces et intelligents, face aux enjeux climatiques, démographiques et économiques », a-t-il déclaré.

Pour Patrick Achi, le pari et la réussite de l’organisation par la Côte d’Ivoire de la COP15, constituent un double symbole d’avenir.

Il a expliqué qu’il est d’abord celui de la renaissance de notre nation, après une décennie d’efforts inouïs, menés sous le leadership du Président de la République, Alassane Ouattara et grâce à la mobilisation extraordinaire de tout un peuple. « La Côte d’Ivoire a désormais repris sa place sur le continent et sa marche vers l’avenir (…) Soyons en fiers. Soyons en dignes », a-t-il dit.

Le second symbole d’avenir, a poursuivi le Chef du gouvernement, c’est celui qu’incarne cette COP15 pour notre nation. « Elle est en effet le prolongement d’un engagement constant de notre pays depuis une décennie, pour comprendre les enjeux naturels de notre écosystème et rechercher des solutions efficaces et durables pour lutter contre la dégradation de nos sols et celle de notre couvert forestier », a-t-il souligné.

Le Premier Ministre a félicité l’ensemble des membres du gouvernement ainsi que le Comité d’organisation de la COP15, pour avoir tout mis en œuvre pour la réussite de cet événement planétaire, ici, en terre ivoirienne.

Il a vivement remercié le secrétaire exécutif de la Convention des Nations-Unies, Ibrahim Thiaw, et son équipe, pour leur soutien et leur franche collaboration.

Il s’est félicité de l’engagement pour la réussite de cette Convention, des 197 États parties, des institutions du Système des Nations Unies, des partenaires au développement, de la société civile et du secteur privé.

Le Chef du gouvernement a salué la participation remarquable des jeunes et des femmes lors de cette COP15 et remercié « très sincèrement » la Première Dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara, Présidente du Caucus des Femmes, ainsi que la Première Dame de la République Démocratique du Congo.

Il a tenu à remercier les États parties pour l’élection du ministre Alain-Richard Donwahi, président de la COP15.

Pour finir, le Premier Ministre a souhaité un bon retour aux différents participants dans leurs pays respectifs et les a invités « à revenir régulièrement en Côte d’Ivoire, cette terre d’hospitalité, cette terre de fraternité ».

Avec l’Initiative d’Abidjan qui débute, après l’organisation de la COP15 à Abidjan, le Premier Ministre ivoirien, Patrick Achi, a exprimé la volonté de la Côte d’Ivoire de jouer pleinement son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique et la lutte contre la désertification des terres, aussi dans la restauration des équilibres environnementaux primordiaux pour l’avenir de la planète.

Le Chef du gouvernement a fait cette déclaration le vendredi 20 mai 2022, à l’occasion de la clôture de la 15ème Conférence des Parties (COP15) à la Convention des Nations-Unies sur la Lutte contre la Désertification et la Sécheresse.

« Avec la COP15 qui s’achève, avec l’Initiative d’Abidjan qui débute, la Côte d’Ivoire veut en effet jouer pleinement son rôle dans la lutte contre le réchauffement climatique, dans la lutte contre la désertification des terres, dans la restauration des équilibres environnementaux primordiaux pour l’avenir de la planète, dans la promotion de modèles agricoles plus efficaces et intelligents, face aux enjeux climatiques, démographiques et économiques », a-t-il déclaré.

Pour Patrick Achi, le pari et la réussite de l’organisation par la Côte d’Ivoire de la COP15, constituent un double symbole d’avenir.

Il a expliqué qu’il est d’abord celui de la renaissance de notre nation, après une décennie d’efforts inouïs, menés sous le leadership du Président de la République, Alassane Ouattara et grâce à la mobilisation extraordinaire de tout un peuple. « La Côte d’Ivoire a désormais repris sa place sur le continent et sa marche vers l’avenir (…) Soyons en fiers. Soyons en dignes », a-t-il dit.

Le second symbole d’avenir, a poursuivi le Chef du gouvernement, c’est celui qu’incarne cette COP15 pour notre nation. « Elle est en effet le prolongement d’un engagement constant de notre pays depuis une décennie, pour comprendre les enjeux naturels de notre écosystème et rechercher des solutions efficaces et durables pour lutter contre la dégradation de nos sols et celle de notre couvert forestier », a-t-il souligné.

Le Premier Ministre a félicité l’ensemble des membres du gouvernement ainsi que le Comité d’organisation de la COP15, pour avoir tout mis en œuvre pour la réussite de cet événement planétaire, ici, en terre ivoirienne.

Il a vivement remercié le secrétaire exécutif de la Convention des Nations-Unies, Ibrahim Thiaw, et son équipe, pour leur soutien et leur franche collaboration.

Il s’est félicité de l’engagement pour la réussite de cette Convention, des 197 États parties, des institutions du Système des Nations Unies, des partenaires au développement, de la société civile et du secteur privé.

Le Chef du gouvernement a salué la participation remarquable des jeunes et des femmes lors de cette COP15 et remercié « très sincèrement » la Première Dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara, Présidente du Caucus des Femmes, ainsi que la Première Dame de la République Démocratique du Congo.

Il a tenu à remercier les États parties pour l’élection du ministre Alain-Richard Donwahi, président de la COP15.

Pour finir, le Premier Ministre a souhaité un bon retour aux différents participants dans leurs pays respectifs et les a invités « à revenir régulièrement en Côte d’Ivoire, cette terre d’hospitalité, cette terre de fraternité ».